Exemple mail de relance prospection commerciale : les meilleures pratiques validées par les données
- Naïma Rahal
- 24 sept.
- 13 min de lecture
Vous avez déjà envoyé un premier mail de prospection… et silence radio en face ? Pas de panique, vous êtes loin d’être le seul dans ce cas. D’après une étude du Brevet Group, près de 80 % des ventes demandent au moins cinq relances pour aboutir. Pourtant, près de la moitié des commerciaux abandonnent après une seule tentative (Scripted, 2023). Vous voyez le souci ? En ne relançant pas, on laisse filer une énorme partie des opportunités.
Et non, une relance commerciale, ce n’est pas juste un petit “Coucou, des nouvelles ?”. Ce n’est pas juste une relance. C’est un moment clé dans la vente. En B2B, il faut souvent 6 à 8 points de contact avant qu’un prospect dise oui (Gartner, 2022). Et c’est souvent à ce stade que tout se joue.
💡 Un mail de relance bien construit ? Ça peut faire la différence entre décrocher un rendez-vous pour présenter une proposition commerciale... ou perdre totalement le lead.
Dans cet article, on va décortiquer tout ça avec vous : 👉 Pourquoi la relance est si puissante 👉 Quelles bonnes pratiques suivre, chiffres à l’appui 👉 Et surtout, on vous partagera des exemples concrets de mails de relance que vous p
ourrez copier, coller et adapter à votre style pour vendre vos produits ou services.
1. Pourquoi la relance est un levier essentiel en B2B
En prospection, le premier contact ne suffit presque jamais. D’après Marketing Donut, 80 % des prospects disent “non” quatre fois avant de dire “oui”. Le hic ? La majorité des commerciaux baissent les bras après un seul refus.
👉 Résultat : si vous ne relancez pas, ce sont vos concurrents qui ramassent les fruits de vos efforts.
Et on ne va pas se mentir, le cycle d’achat en B2B, c’est pas une ligne droite. Il est long, parfois flou, et souvent rempli d’obstacles. Selon une étude de Gartner (2022), un prospect doit avoir entre 6 et 8 points de contact avec votre boîte avant de prendre une décision.
📌 Autrement dit : pas de relances = pas de ventes. C’est là que tout se joue… et où vos mails (ou messages LinkedIn 😉) prennent tout leur sens. La relance, si elle est bien pensée, n’est pas perçue comme une insistance mais comme une preuve de professionnalisme et de constance.
👉 Conclusion : en B2B, la relance est le maillon qui transforme vos efforts de prospection en opportunités réelles.
2. Les bonnes pratiques d’un mail de relance efficace
Un mail de relance n’est pas une répétition de votre premier message. C’est un levier stratégique, et son efficacité repose sur quelques bonnes pratiques… validées par les chiffres.
a) Soignez l’objet : le premier filtre
Votre prospect ne lira pas votre relance si l’objet n’attire pas son attention. Selon Yesware (2023), les emails avec un objet personnalisé génèrent 50 % de taux d’ouvertures supplémentaires. Intégrer le prénom ou une référence au contexte (par exemple « Suite à notre échange de mardi ») peut donc changer la donne.
b) Trouvez le bon timing
Le moment où vous relancez est aussi crucial que le message lui-même. Une analyse de Woodpecker (2022) menée sur plus de 20 millions d’emails montre un truc simple : ⏱️ Le bon timing pour relancer, c’est entre 2 et 5 jours après le premier message.
Attendez trop ? Vous tombez dans l’oubli.Allez trop vite ? Vous risquez de paraître trop insistant.
💡 En gros : laissez respirer, mais ne disparaissez pas. Un bon timing peut doubler vos chances de réponse — et ça, ça vaut de l’or.
c) Gardez vos messages courts et clairs
La longueur d’un mail influe directement sur les résultats. Une étude de Boomerang a montré que les emails de 75 à 100 mots obtiennent un taux de réponse 51 % plus élevé que ceux plus longs. Concrètement, cela signifie aller droit au but : rappeler le contexte, apporter de la valeur et proposer un appel à l’action clair.
d) Offrez de la valeur à chaque relance
Un simple « je voulais savoir si vous aviez vu mon précédent message » ne suffit plus. Chaque relance doit apporter un élément nouveau : étude de cas, témoignage client, statistique pertinente… C’est cette valeur ajoutée qui fait que votre prospect ne perçoit pas votre message comme une insistance, mais comme une opportunité utile.
👉 En résumé : un mail de relance efficace combine objet accrocheur, timing maîtrisé, contenu concis et valeur ajoutée. C’est la formule gagnante pour multiplier vos chances d’obtenir une réponse positive.
3. Exemples concrets de mails de relance prospection
Parler de relances, c’est bien. Mais ce qui vous aidera réellement, ce sont des modèles concrets que vous pouvez adapter à votre situation. Chaque exemple ci-dessous s’appuie sur une approche validée par des études, afin d’augmenter vos chances de réponse.
Exemple 1 : Relance après silence radio
Contexte : Vous avez envoyé un premier email sans réponse.
Donnée clé : Selon Yesware (2023), une deuxième relance augmente le taux de réponse global de 49 % par rapport à un seul envoi.
👉 Modèle : Objet : Toujours intéressé par [problématique évoquée] ? Bonjour [Prénom], Je me permets de revenir vers vous car je n’ai pas eu de retour à mon précédent message. J’accompagne actuellement [entreprise similaire] sur [problématique], et les résultats obtenus pourraient vous intéresser. Serait-ce pertinent d’en discuter 15 minutes cette semaine ? Bonne journée à vous, [Signature]
Exemple 2 : Relance avec valeur ajoutée
Contexte : Vous ne voulez pas simplement rappeler votre existence, mais offrir un nouvel angle.
Donnée clé : Les relances qui incluent une ressource supplémentaire (étude, livre blanc, statistique) augmentent le taux de clic de 24 % (HubSpot, 2022).
👉 Modèle : Objet : [Prénom], un insight qui pourrait vous intéresser Bonjour [Prénom],Je viens de lire une étude que je voulais partager avec vous : j'ai vu que 65 % des fondateurs B2B privilégient les partenaires qui leur partagent régulièrement du contenu à forte valeur ajoutée (ajoutez la source).
C’est le genre d’info qui peut faire la différence dans une stratégie de relation client, alors je me suis dit que ça pourrait vous être utile : [lien vers ressource].
Seriez-vous ouvert à échanger sur la façon dont nous pourrions appliquer cela à [entreprise du prospect] ? Au plaisir, [Signature]
Exemple 3 : Relance après un échange ou une démo
Contexte : Vous avez déjà eu un appel ou présenté une démo, mais la décision tarde.
Donnée clé : Selon Rain Group (2022), relancer dans les 48 heures après un rendez-vous augmente vos chances de closing de 32 %.
👉 Modèle : Objet : Suite à notre échange de [jour] Bonjour [Prénom], Merci encore pour le temps accordé lors de notre appel de [jour]. Comme convenu, je vous partage [résumé de la démo, PDF ou slides].Avez-vous eu l’occasion d’en discuter avec vos équipes ?
Je suis disponible si besoin ;)
À votre disposition, [Signature]
Exemple 4 : Relance décalée (humour ou ton léger)
Contexte : À utiliser uniquement si votre secteur et votre relation avec le prospect s’y prêtent.
Donnée clé : Les emails au ton plus humain et moins formel enregistrent un taux de réponse 15 % supérieur (SalesLoft, 2022).
👉 Modèle : Objet : Je me suis dit que mon précédent mail s’était perdu dans vos spams 👀 Bonjour [Prénom], Je tente ma chance à nouveau, en espérant que ce message arrive bien dans votre boîte de réception cette fois-ci 😉 Si [enjeu du prospect] est toujours d’actualité, je serais ravi d’en discuter avec vous. Bonne journée ! [Signature]
👉 Ces exemples ne sont pas figés : l’important est d’adapter le ton, le timing et la valeur ajoutée à chaque prospect. Mais tous reposent sur le même principe : relancer avec intelligence multiplie vos chances de transformer un silence en opportunité réelle.
4. Les erreurs à éviter dans vos relances commerciales
Relancer un prospect est un art subtil. Bien faite, la relance vous positionne comme un partenaire fiable. Mal faite, elle peut vous fermer des portes définitivement. Voici les pièges à éviter absolument.
a) Rédiger des mails trop longs
Un mail de relance ne doit pas ressembler à un roman. Selon une analyse de Boomerang sur plus de 40 millions d’emails, les messages compris entre 75 et 125 mots génèrent le meilleur taux de réponse (51 % supérieur à la moyenne). Dépasser cette longueur réduit l’impact de votre message et risque de décourager vos prospects pressés.
b) Tomber dans la relance “vide”
Le fameux « Je voulais juste savoir si vous aviez vu mon précédent message » est l’exemple type de la relance inutile. Elle ne crée aucune valeur et vous fait passer pour insistant. Rappelez-vous : chaque relance doit apporter un élément nouveau (statistique, étude, cas client, ressource).
c) Relancer trop agressivement
Vouloir “forcer” la réponse est une mauvaise stratégie. Une étude de Mailchimp (2023) a montré que les emails au ton trop direct ou pressant entraînent un taux de désabonnement deux fois plus élevé. La clé, c’est la constance sans lourdeur : relancer fermement, mais toujours avec tact.
d) Ignorer la personnalisation
Un mail générique envoyé en masse est facile à détecter… et facile à ignorer. Selon Yesware (2022), un email de relance personnalisé obtient 30 % de taux de réponse en plus qu’un message standardisé. Cela peut être aussi simple que citer le prénom, rappeler un échange précédent ou faire référence à une problématique spécifique du prospect.
5. Données chiffrées : quel impact réel des relances sur la conversion ?
Vous hésitez encore à relancer vos prospects par mail ? Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la relance n’est pas un détail, c’est un accélérateur de conversion.
a) Une seule relance change déjà la donne
D’après une étude de Yesware (2023) menée sur plus de 15 millions d’emails, envoyer une deuxième relance augmente de 49 % le taux de réponse global par rapport à un seul message. Autrement dit, la première relance multiplie presque par deux vos chances de capter l’attention de votre prospect.
b) La persistance paie vraiment
Toujours selon Yesware, le taux de réponse cumulé après plusieurs tentatives est impressionnant :
1 email → environ 16 % de taux de réponse,
3 emails → 27 %,
5 emails → jusqu’à 33 %.
Cela montre que la régularité dans vos relances augmente significativement vos résultats.
c) Multicanal : l’effet démultiplicateur
Une analyse de HubSpot (2022) révèle que les séquences de relance combinant email + LinkedIn génèrent 3 fois plus de réponses que l’email seul. La logique est simple : multiplier les points de contact augmente vos chances d’arriver au bon moment.
d) Le moment décisif
Selon le Rain Group (2022), 50 % des prospects choisissent le fournisseur qui relance le plus rapidement après le premier contact. Être présent tôt et régulièrement dans le cycle décisionnel, c’est vous positionner comme une évidence au moment de la prise de décision.
👉 Conclusion : les données sont claires. Les relances régulières, personnalisées et multicanal sont un levier majeur de conversion en B2B. Ne pas relancer, c’est laisser vos concurrents conclure la vente à votre place.
6. Relances et automatisation : comment scaler sans perdre en personnalisation
Vous le savez : relancer manuellement des dizaines (voire des centaines) de prospects est vite chronophage. C’est là qu’intervient l’automatisation, à condition de ne pas sacrifier la personnalisation.
a) Pourquoi automatiser ?
On parle souvent de l’automatisation comme d’un simple bonus. En réalité, c’est un vrai levier de performance. Selon une étude de Nucleus Research, les entreprises qui automatisent une partie de leurs processus gagnent en moyenne +14,5 % de productivité. Ce n’est pas rien.
Concrètement ? Moins de temps perdu sur les tâches répétitives, et un suivi beaucoup plus fluide — sans y penser.
b) Les séquences de mails automatisées
Les séquenceurs (HubSpot, Lemlist, Reply.io…) permettent de programmer vos relances avec des scénarios adaptés. Une analyse de HubSpot (2022) montre que les séquences automatisées mais personnalisées atteignent jusqu’à 27 % de taux de réponse, contre 16 % pour un envoi unique et manuel.
c) Multicanal : l’allié incontournable
L’automatisation ne se limite pas aux emails. En combinant emails + LinkedIn, vous multipliez vos points de contact. D’après SalesLoft (2022), une stratégie multicanale automatisée génère 3,2 fois plus de réponses qu’une stratégie basée sur un seul canal.
d) L’IA pour humaniser vos relances
L’erreur serait de croire qu’automatisation = froideur. Les outils d’IA changent la donne. Ils permettent de rédiger des messages qui s’adaptent au contexte du prospect, tout en conservant un ton naturel. Concrètement, cela signifie scaler vos relances tout en gardant un ressenti “one-to-one”.
👉 En résumé : l’automatisation bien pensée, c’est la capacité de relancer plus de prospects, plus souvent, sans paraître robotique. La clé est d’allier séquences intelligentes, multicanal et IA pour conjuguer volume et pertinence.
7. Cas pratiques et benchmarks sectoriels
Les bonnes pratiques ne prennent tout leur sens que lorsqu’elles sont confrontées au terrain. Pour mesurer l’efficacité réelle des relances commerciales, rien ne vaut les benchmarks sectoriels. Les performances varient selon la nature du marché, le cycle de vente et la maturité des prospects.
a) SaaS B2B : des taux de réponse supérieurs à la moyenne
Selon une étude de Reply.io (2023) portant sur 1,7 million d’emails B2B, les entreprises SaaS obtiennent en moyenne taux d’ouverture de 30 % et taux de réponse de 12 % sur leurs séquences de relance. L’explication : des cycles de vente plus courts et une appétence forte pour l’innovation, ce qui rend les décideurs plus réactifs aux sollicitations.
b) Consulting & services professionnels : un cycle plus long, mais plus rentable
Dans le conseil, la relance est encore plus cruciale. D’après HubSpot (2022), il faut en moyenne 5 à 8 interactions avant qu’un prospect ne s’engage, mais les contrats signés sont souvent de grande valeur. Les relances régulières et personnalisées permettent de rester “top of mind” jusqu’au moment de la décision.
Résultat : un taux de conversion final supérieur, malgré un taux de réponse initial plus faible (autour de 8 à 10 %).
c) E-commerce B2B : l’efficacité des relances avec offre
Le secteur e-commerce en B2B réagit bien aux relances accompagnées d’un avantage concret (réduction, livraison offerte, bonus de volume). Une analyse d’Omnisend (2023) montre que ce type de relance peut augmenter les conversions de 18 % en moyenne. Ici, la clé est de créer un sentiment d’urgence et de valeur immédiate.
Tableau comparatif des performances par secteur
Secteur | Taux d’ouverture moyen | Taux de réponse moyen | Spécificité clé |
SaaS B2B | ~30 % | ~12 % | Cycles courts, forte réactivité |
Consulting & services | ~25 % | ~8–10 % | Cycles longs, valeur contrat élevée |
E-commerce B2B | ~28 % | ~11 % (jusqu’à +18 % avec offre) | Réponse accrue aux incitations |
👉 Conclusion : chaque secteur a ses codes, mais une constante demeure : la relance personnalisée, régulière et multicanal améliore significativement les performances. Adapter votre stratégie en fonction du secteur ciblé, c’est maximiser vos chances de transformer vos prospects en clients.
8. Conclusion : la relance comme levier décisif de closing
Vous l’avez vu tout au long de cet article : la relance n’est pas une option, c’est un élément central de votre stratégie de prospection. Les chiffres le prouvent :
80 % des ventes nécessitent au moins cinq relances (Brevet Group).
Une deuxième relance augmente de 49 % le taux de réponse global (Yesware, 2023).
Les séquences multicanal (email + LinkedIn) génèrent 3 fois plus de réponses que l’email seul (HubSpot, 2022).
En clair : chaque relance, bien pensée et bien exécutée, multiplie vos chances de transformer un silence en opportunité.
Mais il y a un défi majeur : le temps. Relancer manuellement 50, 100 ou 200 prospects, c’est quasiment impossible sans sacrifier la qualité. C’est précisément là que l’automatisation intelligente devient votre meilleur allié.
D’après Nucleus Research (2021), les entreprises qui automatisent leurs processus commerciaux voient leur productivité augmenter de 14,5 % en moyenne, tout en améliorant leur suivi.
👉 Avec des solutions comme Cli3nts, vous pouvez :
programmer des séquences de relance personnalisées,
combiner email + LinkedIn pour maximiser vos points de contact,
et déléguer la partie chronophage à un Agent IA qui garde un ton naturel et humain.
Le mot de la fin
La différence entre un prospect qui signe et un prospect perdu se joue rarement au premier mail. Elle se joue dans votre capacité à relancer régulièrement, intelligemment, et au bon moment. Les données sont claires, et les outils existent pour vous aider à scaler sans perdre en personnalisation.
👉 La prochaine étape est simple : mettez en place vos propres séquences de relance dès aujourd’hui, et testez comment un Agent IA comme Cli3nts peut vous permettre d’augmenter vos taux de réponse… tout en vous libérant du temps pour ce qui compte vraiment : vos clients et votre business.
9. FAQ – Relances commerciales
❓ Combien de fois relancer un prospect en prospection commerciale ?
Selon Yesware (2023), le taux de réponse passe de 16 % avec un seul email à 33 % après 5 relances. Concrètement, il est recommandé de prévoir entre 3 et 5 relances intelligemment espacées, en variant les approches pour maximiser vos chances.
❓ Quel est le meilleur délai pour une relance par mail ?
D’après Woodpecker (2022), le timing optimal se situe entre 2 et 5 jours après le premier envoi. Relancer trop tôt peut donner une impression d’insistance, tandis qu’attendre trop longtemps réduit vos chances d’être pris en compte.
❓ Quels objets de mail augmentent les chances de réponse ?
Les emails avec un objet personnalisé génèrent 50 % d’ouvertures supplémentaires (Yesware, 2023). Intégrer le prénom, une référence à un échange ou une problématique précise améliore considérablement vos résultats.
❓ Faut-il privilégier le mail ou LinkedIn pour une relance B2B ?
Les deux sont complémentaires. Une analyse de HubSpot (2022) montre que les séquences multicanal (email + LinkedIn) génèrent 3 fois plus de réponses que l’email seul. L’idéal est donc d’alterner les points de contact.
❓ Quels outils utiliser pour automatiser les relances ?
Des solutions comme HubSpot, Lemlist ou Reply.io permettent de programmer des séquences de relance automatisées. Mais l’avenir se joue du côté des Agents IA, capables de personnaliser chaque message en fonction du contexte. D’après Nucleus Research (2021), automatiser ses process commerciaux, c’est en moyenne +14,5 % de productivité. Pas mal, non ?
👉 Cette FAQ répond vraiment aux questions que vos prospects se posent. Pas du blabla. Des réponses claires, sourcées, et tout de suite actionnables.
10. Ressources complémentaires pour améliorer vos relances
Si vous souhaitez aller plus loin que les exemples et bonnes pratiques présentés, voici des ressources validées par les données qui vous aideront à perfectionner vos relances commerciales.
a) Études et rapports de référence
Yesware Email Benchmark Report (2023) : une analyse de plus de 15 millions d’emails qui détaille l’impact du nombre de relances et leur timing sur le taux de réponse.
HubSpot State of Sales (2022) : met en avant l’efficacité des séquences multicanal (email + LinkedIn), avec un taux de réponse 3x supérieur aux campagnes mono-canal.
Rain Group Sales Prospecting Report (2022) : démontre que 50 % des prospects choisissent le fournisseur qui relance le plus rapidement après le premier contact.
b) Outils pour structurer vos relances
HubSpot Sales Hub : idéal pour programmer vos séquences d’emails et mesurer les performances.
Lemlist : réputé pour ses options de personnalisation avancée et ses relances automatisées.
Cli3nts : votre allié pour déléguer la gestion des relances multicanal à un Agent IA capable de garder un ton naturel et humain, tout en scalant votre prospection.
c) Bonnes pratiques à retenir
Relancer 3 à 5 fois un prospect, avec des délais stratégiques de 2 à 5 jours entre chaque contact (Woodpecker, 2022).
Rester sous la barre des 125 mots pour maximiser vos chances de réponse (Boomerang).
Ajouter de la valeur à chaque relance (statistiques, cas clients, ressources), car cela augmente le taux de clic de 24 % (HubSpot, 2022).
👉 Ces ressources vous permettront de passer d’une relance « intuitive » à une relance structurée, chiffrée et performante. En combinant ces données avec l’automatisation intelligente, vous pouvez transformer vos relances en un véritable système de conversion scalable.



